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- 11 - Thierry Veil - Bagelstein
Thierry Veil (Bagelstein)
Bagelstein : le pain rond provoquant qui a su se réinventer pour mieux séduire sa clientèle
“Il n’y a que les poissons morts qui suivent le courant”.
Thierry Veil, CEO de Bagelstein, la chaîne française de restaurants de bagels donne le ton à ce nouvel épisode de Once Upon a Business.
Aujourd’hui, Bagelstein, c’est 92 restaurants partout en France, un concept décalé, du fait maison, du libre-service et une histoire qui roule !
Si l’entreprise est aujourd’hui si prospère, ce ne fut pas toujours le cas. En 2018, Bagelstein brûle du cash et se brûle les ailes. Mais grâce à un pilotage très fin du financier Thierry Veil et de son associé, Gilles Abecassis, le panier moyen du consommateur repart à la hausse et l’entreprise renoue avec la croissance.
Qui est Thierry Veil, ce CFO atypique devenu CEO ? Comment a-t-il réussi à réorienter son business et à surmonter une phase critique ?
Découvrez cette histoire fascinante dans ce nouvel épisode de Once Upon a Business, animé par Laurie De Coster.
L'invité
Thierry Veil est le CEO de Bagelstein, l’entreprise qu’il a fondée en 2011 avec son associé, Gilles Abecassis.
Après un début de carrière en cabinet d’audit chez PwC, l’un des Big Four, pendant 6 ans, Thierry Veil devient CFO. Ensuite, il réalise son rêve et devient CFO puis directeur général du Racing Club de Strasbourg Alsace, son club de foot fétiche.
Mais il déchante vite dans cet univers souvent en contradiction avec ses valeurs.
Il se tourne alors vers l’entrepreunariat et lance d’abord un concept de restauration autour du sushi, qu’il arrête rapidement avant de lancer Bagelstein en 2011 et d’en devenir le CEO.
Dans cet épisode, on a parlé de ...
- L’art de réorienter son business model en situation de crise :
- L’importance du bagage financier lorsqu’on est CEO d’une entreprise pour faire des ajustements stratégiques
- Le besoin du marketing se réinventer et mieux satisfaire ses clients
- La nécessité de réaliser ses rêves, même si certains rêves peuvent s’avérer décevant au final : Thierry Veil rêvait de travailler pour son club de foot préféré. Il en est CFO puis devenu directeur général, mais a regretté d’y trouver surtout un monde “avec beaucoup d’argent et peu de neurones”.
- D’un concept décalé et assumé : “Peut-être que vous ne nous aimerez pas, mais beaucoup d’autres vont nous aimer”
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